Après nos amis les kangourous, nous sommes allés à la rencontre des baleines ! Sur la côte ouest, on peut observer les baleines à bosse lors de leur migration annuelle vers les eaux de l'Antarctique. Ces mammifères marins passent près de Perth à partir du mois de septembre jusqu'à début décembre. Une occasion à ne pas manquer !
Rien de tel pour commencer cette journée exceptionnelle qu'une petite croisière sur la Swan River ! Les baleines se situent près de l'île de Rottnest Island, je vous invite à regarder notre parcours sur la carte. Départ de Perth, escale à Fremantle et en route pour le grand large ! Cette croisière d'une petite heure le long la Swan River était sublime : côte sauvage, villas de luxe, bateaux... tout ce qui donne envie quoi !
Escale et changement de bateau à Fremantle, en route pour Rottnest Island !
Première règle d'or : l'observation. Idem pour les deux règles suivantes. Eh oui, avoir le privilège d'apercevoir les baleines, ça se mérite !
Sur le bateau, on peut ressentir un léger stress, un p'tit « suspense »... Tout le monde observe l'horizon à la recherche de « quelque chose » à la surface de l'eau. Personne ne sait à quoi s'attendre, mais tout le monde espère. Ambiance intéressante, et trèèèès calme... Quand tout à coup, on entend des cris et l'équipage envoie des signaux vers la proue du bateau ! Mille Millions de mille sabords, tout le monde sur le pont !
Les voilà !!! Nous avons eu la chance de suivre une maman baleine et son petit, une rencontre étonnante.
Bonjour à tous !
Nous avons arrêté le business des jouets pour quelques semaines. Nous reprendrons vers mi-novembre, là où les ventes vont exploser à l'approche de noël. Nous profitons de notre nouveau temps libre pour nous reposer, visiter... et faire des extras. Et oui, money, money, money !!!
Avant mon départ, je vous affirmais, chers amis proches, que je ne me voyais pas du tout être serveuse. Et bien, c'est arrivé hier soir. L'appât du gain tout simplement.
Nous avons travaillé pour un grand restaurant italien réputé de Perth : « Maurizio ». Le genre de resto où il faut reculer la chaise du client pour lui permettre de s'asseoir et où il faut maîtriser l'art de l'origami pour plier les serviettes. Loin de notre monde donc.
Quand le premier ministre d'Australie Kevin Rudd se rend à Perth, il mange chez « Maurizio », ça vous donne une idée. Tenue plus que correcte exigée : chemise blanche, pantalon noir, chaussures noires, pas de bijoux, pas de montre sans oublier de mettre un de ses bras en angle droit pour y poser une serviette plus blanche que blanche.
Nous avons été engagés pour un évènement spécial : un mariage. Samedi soir. 320 couverts. Ca fait beaucoup pour un baptême de serveuse, non ? Surtout que c'est tout un métier, on n'est pas aux 3 brasseurs là, c'est « Maurizio » ! Et on n'a pas fait l'école hôtelière ! Je stresse !
Nous avons bien sur été à l'essai vendredi après-midi. Journée consacrée à la découverte de la salle, la décoration des tables, la mise en place des couverts. Nous découvrons le lieu où se tiendra le mariage : l'Association Sicilienne de Western Australia. Une pensée furtive me traverse : ça serait pas un repère de la Mafia ?
Bref, nous voilà à mettre les couverts.
« 6 couverts par personne : 3 sortes de fourchettes, 3 sortes de couteaux. Les plus petits vers l'extérieur. Il faut les mettre à 1 cm du bord de la table tout comme l'assiette. » Ok, ce n'est pas compliqué. Mais ce n'est jamais simple et encore moins avec les Italiens... A peine a-t-on commencé la première table que nous sommes déjà interrompu par un « No no noooo Mamma mia » ! Suis-bête, il ne faut pas laisser d'empreintes digitales sur les couverts, évidemment... Nous devons donc cirer les couverts avant de les déposer d'une manière précise. L'ambiance est assez électrique, je comprends, surtout la veille d'un mariage et en plus pour des mafieux siciliens... J'en suis à quelques tables quand tout à coup, c'est le drame. Un couteau m'a un peu trop effleuré : je me suis coupée. Je ne m'inquiète pas pour moi et ma petite coupure... je m'inquiète plutôt pour la tâche de sang que j'ai laissé sur la nappe plus blanche que blanche.Mon cœur commence à battre plus vite, et oui, je réalise vite que je viens de faire une belle boulette. Que faire ?
- La première chose à laquelle je pense : être honnête et avouer. Affronter les « Mamma Mia » « No no no » et prendre le risque d'échouer à l'essai, ce qui veut dire ne pas être sélectionnée pour le lendemain, jour J. Non.
- Deuxième option : ne rien dire. Après tout, c'est une petite tâche, certes, bien rouge sur ce blanc si... blanc. Et puis, je ne l'ai pas fait exprès, je ne l'avais même pas vu, zut !
- Troisième option : ne rien dire et dissimuler. Tout simplement positionner le couteau pour cacher la tâche.
Incapable de prendre une décision et trop stressée pour être objective, j'ai besoin d'un avis, vite. Alex est à l'autre bout de la salle. Mon colocataire Joe passe près de moi (il est à l'essai aussi) :
Je l'interpelle le plus discrètement possible :
- « Joe ! Joe ! Psss ! Psss ! Viens par là »
- Qu'est ce qui s'passe ?
- Regarde, je me suis coupée, j'ai tâché la nappe ! Qu'est ce que je fais ?
- Du sang ! Oula, faut rien dire du tout ! Si tu le dis, ils vont te tuer !
L'avis de Joe : mieux vaut ne rien dire. C'est vrai qu'ils rigolent pas les macaronis... Faute avouée, faute à moitié pardonnée, ça ne marche pas ici. Et si c'était la Mafia ?
Mon esprit divague, il est temps de prendre une décision. Je choisi la troisième option tout en sachant que c'est très risqué. Risqué car, les responsables repassent toutes les tables au peigne fin et repositionnent les couverts de quelques millimètres si nécessaire. Je continue sur les autres tables comme si de rien n'était, mais observe attentivement les responsables. Ils approchent de LA table.
Mon cœur bat encore plus vite, je m'attends d'une minute à l'autre à entendre « Blood ! There is blood ! Who's bleeding ? No no no mamma mia ! » Le temps s'arrête pendant quelques secondes... quand je les vois passer à une autre table. Je recommence à respirer doucement. Ils n'ont rien vu, quelle chance ! Pfiou, j'ai eu chaud !
Après 3 heures d'essai, nous sommes retenus pour renforcer le personnel pour le mariage. Youhou !
Le jour J, nous avons terminé le service à 2h du matin. Récolter les cadeaux des mariés, servir le (faux) champagne, servir les plats, débarrasser, essuyer les verres (3 verres par personnes multipliés par 320), il y a une ambiance folle en cuisine, c'est tout ce que l'on peut imaginer : proche de l'enfer. Avec en bonus des « Mamma mia ; quick, quick ; bravo ; brava ; bravissimo et j'en passe »
J'ai mal aux pieds, les plats sont lourds, je me répète sans cesse « ne lâche pas, ne lâche pas » ou bien « ne trébuche pas, ne trébuche pas », on nous appelle de tous les côtés, il faut penser à servir la femme la plus âgée de la table en premier, faire le service dans le sens des aiguilles d'une montre, servir le client à sa gauche et surtout pas à sa droite... Bref, serveur grand standing, c'est un métier difficile. Je suis fière et surprise de n'avoir cassé aucun verre ou renverser du champagne ou pire de la sauce sur la mariée, ma hantise. Je suis épuisée mais ravie de cette expérience. Reste à attendre la paye, et la fin des courbatures.
PS : Le blog a subi un bug, je ne peux plus télécharger de photos. Selon le webmaster du domaine, tout rentrera dans l'ordre dès lundi. Patience, patience !
Notre dimanche a été sensationnel !
Il a commencé par une balade jusqu'à la « boulangerie » du quartier pour préparer un petit déjeuner digne de ce nom. En chemin, nous découvrons une brocante ! Ceux qui me connaissent par cœur confirmeront que j'adore chiner. Alors, découvrir ma première brocante australienne un dimanche matin ensoleillé en direction de la boulangerie, c'est sensass ! Mon œil commence à pétiller quand celui d'Alex commence à tourner... Les brocantes ne peuvent pas plaire à tout monde, que voulez-vous... Impossible de me refuser le plaisir d'aller y faire un tour et qui sait, trouver un sac Hermès vintage ? (vous y croyez moyen, j'avoue que moi aussi). Des brocanteurs s'installent, d'autres jouent à la guitare « le lion est mort ce soir », il y a une bonne ambiance. Je défile dans les allées sans grands espoirs, quand tout à coup, mon radar m'envoie un signal. Mon radar à « fashion » exactement. Une paire de chaussure. Une élégante paire de tongs dorées qui sublimeraient bien mon (futur) bronzage...
How much ? 5 $, valeur 3 euros. Je les essaye, elles me vont parfaitement.
C'est à ce moment précis que surgit LA question typiquement féminine, à laquelle, au fond de nous, nous connaissons déjà la réponse : « en as-tu vraiment besoin ? ». Ma conscience est vivement soutenue par Alexandre... Il est vrai que j'ai déjà deux paires. Il est vrai que tout ce que j'achète, je vais devoir le porter dans mon sac pendant toute la durée du voyage. Mais il est vrai qu'elles sont superbes, c'est ma pointure et elles ne font que 3 euros. L'équation est vite fait, les tongs sont désormais miennes !
Retour à la maison pour prendre notre p'tit dej dans le jardin : une belle brioche, un délicieux « fruit cake » et... le pain d'Alex. Un pain avec une ganache rose fluo au goût infecte de chewing-gum, le tout saupoudré de serpentins multicolores. Voyez vous-même.
Départ pour « Pinnaroo Valley », un parc préservé ou plutôt devrais-je dire un cimetière...
Un magnifique et surprenant cimetière car on peut y rencontrer, non pas des fantômes, mais des kangourous en parfaite liberté ! Pinnaroo Valley est aux antipodes des cimetières que l'on peut trouver en France. Cela peut paraître curieux, mais c'est un véritable lieu de vie paisible (évidemment) et familial. Certains se retrouvent pour un pique-nique ou une sieste quand d'autres posent des gerbes de fleurs. C'est un lieu où règnent sérénité, quiétude et respect d'autrui, le tout au milieu des kangourous ! Ca sent bon l'Australie, tout simplement !
Les kangourous ne se laissent pas approcher aussi facilement qu'à Heirisson Island, mais ils sont beaucoup plus nombreux. Certains se prélassent sur les tombes ombragées, d'autres, vous l'avez remarqué, se font une joie de manger les fleurs fraîchement déposées par les familles. Ils sont totalement libres, c'est pourquoi on peut trouver les fameux panneaux jaunes « Attention Kangourous » sur les routes alentours. Les approcher dans un tel environnement est magique, rien à voir avec la visite d'un simple zoo, l'instant le plus magique à mes yeux étant la découverte de la tribu des « mamans kangourous ».
Ce fut pour moi une après-midi "100% émotion", car voir de si près les mères kangourous et leurs petits m'a beaucoup touché, j'étais toute émue.
Que voulez-vous, je suis une éternelle sensible...
Nous avons terminé notre dimanche en beauté, à "Trigg beach" pour profiter du soleil, des surfeurs et des superbes villas.
Un dimanche, juste sensationnel !
Exposés sous les néons des centres commerciaux, assaillis par les gamins, sollicités par leurs parents, le tout au beau milieu des musiques d'ambiances des enseignes alentours... Rien de tel qu'un coucher de soleil sur l'océan indien pour se détendre après une journée de travail !
17h30. On se presse de ranger, calculer la recette du jour, mettre à jour les stocks sans oublier de prévenir le boss pour profiter des dernières heures de soleil sur la terre australienne.
Le calme, les vagues, le soleil, et nous.
Quelques surfeurs aussi.
Voici le résultat d'une semaine de boulot ou encore
- 59 heures de démonstration de magic worm
- 2500 "comment ça marche?"
- 2300 "c'est de l'éléctricité statique, non ?"
- 30 "Ahhhh ! Il y a une ficelle ! Sinon c'est de l'éléctricité statique non ?"
- 500 " Je peux essayer ?"
- 30 "Vous êtes payés pour jouer toute la journée, vraiment ?"
- 25 "Vous êtes français ?"
- 1 "Vous êtes russe ?"
Vous êtes nombreux à demander plus de news, mais nous faisons comme vous en ce moment : on bosse entre 50 et 58 heures par semaine, 6 jours sur 7, ce qui ne laisse pas encore le temps de vivre des aventures trépidantes dans l'outback australien. Les serpents et les koalas attendront que la cagnotte soit remplie !
See ya !
Bonjour à tous !
C'est à peine le printemps, et je commence déjà à me tartiner de crème 50. J'ose à peine imaginer l'été ! Recherche crème indice 100 désespérément... ?
Nous travaillons entre 50 et 58 heures par semaine, mais je prends le temps de vous faire découvrir « Perth Hills » où nous nous sommes rendus il y a une douzaine de jours pour un pique-nique entre colocs. Destination Kalamunda !
Kalamunda est un parc national exceptionnellement préservé à 25 km de Perth : rochers de granite, forêts, ruisseaux, chutes d'eau et vue panoramique de Perth au milieu de la nature... dépaysant ! On se rend vraiment compte qu'il n'y a rien autour de la ville. Dans ces montagnes, avec beaucoup de chance et de patience, on peut rencontrer le "kangourou gris". Nous n'avons pas eu de patience.
Messieurs, passez votre chemin !
Ce billet est exclusivement réservé à la gente féminine, puisqu'il traite de mes états d'âme vestimentaires au pays d'oz - traduction : je vais parler mode -.
Amies modeuses, nous avons de la chance. Nous avons du goût, du style, de la classe... comparé aux australiennes.
Je croyais que leur style était un choix, entre le vulgaire, le moulant et le ringard, mais en faisant un p'tit tour dans les boutiques, j'ai enfin compris. Et j'en suis arrivée aux conclusions suivantes : trop de strass tue le strass, trop de froufrou tue le froufrou, et trop d'imprimé tue l'imprimé. Le produit phare ici n'est pas le jean, mais LA robe de soirée. Des robes dignes d'une montée des marches d'un mauvais Festival de Cannes (ou d'une bonne soirée disco...).
Remarque : je ne mettrais pas le quart de ces robes à une soirée déguisée. Les australiennes les portent pour aller au Mcdo.
Bilan : les matières ne sont pas bien choisies, ce qui doit être ajusté et cintré ne l'est pas, les coupes originales devraient être sobres mais sont imprimées... bref, les basiques et les belles pièces sont rares. Ce qui en un sens est un avantage pour moi, souffrant de fièvre acheteuse et de tocs compulsifs.
En exclusivité pour vous, des photos !
PS : il n'y a pas de tuniques, les modèles les plus courts sont des robes. Si, si.
Cela fait plusieurs jours que je souhaitais faire un billet expliquant exactement en quoi consistait notre job. Vendeurs de jouets oui, mais pas que... ce qui va suivre va vous surprendre.
Contrairement à ce que vous pensez, nous sommes à mille lieux de vendre des vans Barbie, des GI Joe, des dinettes ou des sabres de pirates... Nous sommes plus que des vendeurs, nous sommes de véritables showmen ! Nous vendons un seul et unique jouet : le « magic worm ».
Cette vidéo vous donnera l'aperçu exact de notre activité. Je précise, ceci n'est pas un canular.
La première fois que j'ai vu ce jouet, j'ai réagi d'une manière typiquement européenne : ça ne se vendra jamais et nous allons être ridicules devant tout le monde...
Et bien, je suis fière de vous annoncer que nous avons atteint les 2000$ de chiffre d'affaires dès notre premier jour. Sachez qu'un jouet est facturé 10$. Je vous laisse faire les comptes...
Les « Magic Worm » se vendent comme des petits pains !
Et ce travail offre beaucoup d'avantages : nous sommes en contact permanent avec les clients, nous devons attirer leur attention, piquer leur curiosité avec des démonstrations, les amuser et surtout leur expliquer le fonctionnement du jouet car oui, l'australien est littéralement subjugué par ce petit ver. Les enfants se précipitent à notre stand, les parents observent nos tours de magie avec cette expression d'incompréhension et lancent LA question que nous entendons 10000 fois par jour : « But... What the hell ? How does it work ? ».
Nous parlons anglais de 9h à 17h30, voire 21h. On ne peut mieux !
En quelques jours, j'ai pu établir des profils de notre clientèle : la mère de famille incapable de dire « non » à ses 4 enfants surexités, le papa qui achète pour sa fille mais qui ne manquera pas de s'entrainer et de faire le show au bureau, l'adolescente qui trouve ça « so cute » et en fera un porte-clef, l'asiatique fanatique toujours à la recherche de nouveaux gadgets, et ma cible préférée... la grand-mère. Aaaaah les grand-mères... je les adore encore plus quand elles ont 6 ou 7 petits enfants. Il suffit d'aborder le sujet « combien de petites-filles, combien de petits-garçons ?», de les laisser parler tout en gardant le sourire commercial... je conclus la vente à 99%. Vive les mamies !
Et là vous pensez, mais quel requin ! Bien-sûr que je suis un requin, avec 1000$ à la clé par semaine, qui ne le serait pas ?
Vous êtes nombreux à m'avoir demandé des photos des colocs.
Nous étions tous réunis pour mon anniv, j'ai pris soin d'immortaliser ce bon moment.
A gauche : Justina et Thomas (couple polonais)
A droite : Joachim et Céline ( couple Franco-Belge / Réunion et Congo) et Roxy !
En exclu votre première leçon de Polonais :
Wszystkiego naj'lepszego zokazjï - 25 - undrin !
On te souhaite le meilleur pour tes 25 ans !
Eh oui, 25 ans déjà. Le quart de siècle, l’âge adulte, un nouveau cap, une nouvelle ère ou le point de non retour de ma jeunesse… Adieu la carte 12-25 de la SNCF, adieu le sundae caramel gratuit au « Macdo », adieu les tarifs réduits du cinéma, adieu les avantages bancaires, adieu les promos chez le coiffeur…
Courage, ce n’est pas une raison pour choper un coup de vieux !
Aujourd’hui, devant vous, je m’engage à rester « moi » au fil des années :
- je continuerai à regarder les dessins-animés les matins où je ne fais pas la grasse mat,
- je continuerai à douter de l’existence du pays imaginaire au générique de fin de Peter Pan,
- il y aura toujours un (gros) pot de Nutella dans mes placards,
- je ne me retournerai pas pour un « madame »,
- 4 heures sera toujours l’heure du goûter,
- dessiner des moustaches et des dents noires sur les photos des mots croisés me fera toujours rire,
- et je mettrai toujours mes mains devant les yeux lors des scènes sanglantes des films d’horreur…
Je tiens à tous vous remercier d’avoir pensé à moi. Merci pour vos mails, merci pour vos commentaires, merci pour vos cartes virtuelles, merci pour vos messages « facebookiens », merci, merci, merci.
Mention spéciale pour Christine : merci pour le colis arrivé pile le bon jour !
Je vous adore tous et même à l’autre bout de la terre, je pense bien à vous.
Evidemment, on va fêter l’évènement avec les colocs ce soir. Ca ne sera pas la fête jusqu’à 5 heures du mat car je bosse demain. Néanmoins, j’ai préparé un p’tit menu sympa, les photos au prochain billet !!!